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THE END OF LOVE
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An ORDINARY LIFE
Documentaire de Efrat Shalom Danon et Gili Danon Israël | 2019
Inédit en version sous-titrée français
Deux réfugiées, une Érythréenne à Tel Aviv et une Somalienne à Berlin, toutes deux à la recherche d’un gîte, se confrontent quotidiennement à la discrimination et à l’altérité. Déterminées à aider d’autres femmes dans la même situation qu’elles, les deux amies deviennent activistes sociales. Le documentaire met leurs destins en lumière et souligne les contrastes entre les politiques d’immigration israélienne et allemande.
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FAMILY IN TRANSITION
Documentaire de Ofir TraininIsraël | 2018
Inédit en version sous-titrée français
Ce documentaire exceptionnel débute au moment où un père de famille exprime son désir de devenir une femme. Soutenu.e et accompagné.e par son épouse et ses enfants dans cette transformation, iel va se confronter au regard de la société.
Sa métamorphose redistribuera les cartes dans la famille. L’authenticité des témoignages de chacun de ses membres s’avère bouleversante. -
BUTTERFLIES IN BERLIN
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MRS G.
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crucified girl
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léona
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Working woman
Médias 2017
Médias 2016
Jury courts-métrages 2016
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Inbal Yalon
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Alon Knoll
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David Hainaut
Né en 1980 et journaliste depuis 2006, il a fait ses débuts chez Cinenews avant de se spécialiser principalement dans la couverture de tournages (pour Be TV, Cinergie, Le Soir, Moustique, La Tribune de Bruxelles…). Président de l’Union de la Presse Cinématographique depuis 2012, il a initié la même année le Prix de la Critique, codécerné aujourd’hui avec l’UCC dans 14 festivals en Belgique. Régulièrement juré de festivals, il est depuis 2015 rédacteur en chef de la revue « Cinéma Belge » et est par ailleurs membre du comité de sélection des courts-métrages pour le portail Wallonie-Bruxelles Images.
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Léa Lando
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François Marache
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David Tomaszewski
David est un réalisateur et un artiste numérique français d’origine polonaise. Passionné, il reçoit à 16 ans son premier prix Georges Lucas à la Star Wars Fan Films Awards. Il réalise des court-métrages, de nombreux clips de musique et est notamment connu pour avoir collaboré avec le rappeur Orelsan. En 2015, une vidéo qu’il a réalisée à Brooklyn a été exposée lors de l’événement Brooklyn amusement Park.s.
Prix 2016
Prix du film Georges Schneck
Le prix Georges Schnek, d’une valeur de 1000 €, est décerné par le jury Longs-métrages à un film non distribué en Belgique. Ce prix a été nommé en hommage au président fondateur d’IMAJ et est attribué au réalisateur du film.
Le Prix a été remis au réalisateur Nir Bergman pour son film YONA qui narre la vie de la poétesse Yona Wallach. Toutes nos félicitations.
Prix BETV
Le prix BeTV est décerné à un film du festival du BJIFF par Philippe Logie, directeur des acquisitions chez BeTV. Le film gagnant sera diffusé sur la chaîne durant l’année.
Le Prix BeTV à été remis à John Goldschmidt pour sa comédie DOUGH. Ce film sera diffusé plusieurs fois sur la chaîne BeTV durant l’année 2016.
Prix DU PUBLIC
Le prix du public est attribué par le public du festival au film qui aura reçu le plus d’éloges.
Le Prix du public et le Prix coup de cœur reviennent à ORANGE PEOPLE de Hanna Azoulay Hasfari. Merci à la réalisatrice de nous avoir fait l’honneur d’être présente pour le festival.
Prix du Court-Métrage
Le prix du meilleur court est décerné par le jury Courts-métrages.
Le jury spécifique courts-métrages a choisi de récompenser le film DEAR GOD de Guy Nattiv et Erez Tadmor.
PRIX spÉcial
Le Prix spécial à été remis à Yoram Ron pour son documentaire sur Emmanuel Lévinas, LE DIEU ABSENT.
Invités 2016
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Luc Dardenne
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Sylvain Biegeleisen
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Mylène Botbol-Baum
Mylène Botbol-Baum, de nationalité française a fait ses études universitaires notamment aux Etats-Unis et en Israël. Docteur en philosophie, elle a été nommée Professeure à l’Unité́ d’éthique biomédicale, à l’Université́ Catholique de Louvain. Chargée de l’enseignement et de la recherche aux Facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques, elle est l’auteure de nombreux articles et parutions qui couvrent des domaines variés, éthique biomédicale, biopolitique, féminisme et maternité, linguistique et littérature….
Passionnée par toute question philosophique et politique elle est active dans de nombreux domaines: elle est notamment Co-responsable du groupe de recherche HELESI (health, ethics, law and social issues) à l’IRSS (Institut de Recherche Santé et Société́) et Membre du centre de philosophie pratique Europé UCL (Université́ Catholique de Louvain), Bruxelles, Belgique
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Marilyn Watelet
Scripte à la RTB, Marilyn a fondé Paradise Films et a été pendant plus de vingt-cinq ans, la productrice de la plupart des films de Chantal Akerman (Jeanne Dielman, Les Rendez-vous d’Anna, Toute une nuit, Nuit et jour, D’Est, etc.). Elle a également produit Bruxelles-Transit de Sammy Szlingerbaum .Elle a réalisé seule et aussi avec Simon Zaleski des films engagés.
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Amos Gitaï
Amos Gitaï entame, en 1968, en Israël des études d’architecture qu’il poursuivra plus tard à l’Université́ de Berkeley, aux Etats-Unis. Il est encore étudiant lorsqu’il est mobilisé, en 1973, lors de la Guerre de Kippour et manque de se faire tuer par un tir de missile syrien. Cet événement traumatisant lui inspirera deux films : Kippour, souvenirs de guerre (1997) et Kippour (2000).
En 1977, il commence à travaillé pour la télévision israélienne. En 1982, le tollé́ provoqué par son documentaire Journal de campagne, tourné pendant la Guerre du Liban, l’oblige à quitter son pays natal. Il s’installe alors à Paris, où il restera dix années de sa vie. De son exil forcé, il puisera son inspiration pour ses films Esther (1985), présenté́ à la Semaine de la critique du Festival de Cannes, et Berlin Jérusalem (1989). Après l’élection de Yitzhak Rabin comme Premier ministre en 1993, Amos Gitaï rentre en Israël et se montre des plus prolifiques. Il signe de nombreux films et documentaires à connotation politique. Il réalise en 1998 Yom Yom, consacré à sa ville natale Haïfa, puis de Kadosh (1999), centré sur Jérusalem et l’extrémisme religieux. En 2002, Amos Gitaï foule à nouveau les marches du Palais des Festivals pour la sélection en Compétition de Kedma, qui revient sur la création de l’Etat d’Israël.
À travers Alila (2003), le cinéaste livre la chronique d’une vie dans un immeuble, puis l’année suivante il aborde le thème de la traite des blanches dans Terre promise. Tournant avec une régularité́ exemplaire, le cinéaste parvient également à diriger des stars internationales comme Natalie Portman dans Free Zone (2005) ou Juliette Binoche dans Désengagement (2008). En 2015, il revient avec Le Dernier Jour de Rabin, une fiction autour de l’assassinat de Yitzhak Rabin.
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YORAM RON
Professeur à l’Ecole Shenkar et au Collège académique à Jaffa, Yoram Ron signe avec Le Dieu Absent son premier long métrage documentaire. Après avoir étudié́ la philosophie à Paris X (Nanterre) et à l’Université́ Hébraïque de Jérusalem, il entame des études de cinéma à l’Université de Tel-Aviv.
Il a été́ un des traducteurs en hébreu de «Kafka -pour une littérature mineure» de Deleuze-Guattari, et de «La trace de l’autre» d’Emmanuel Levinas. Il a réalisé́ des vidéos-arts, des films d’entreprises, et des vidéos- clips, ainsi que des courts-métrages indépendants dont If & Only If a reçu le 1er prix dans le cadre des films expérimentaux ainsi que Money le 1er prix pour les films one-shot au Doc-Aviv Galil en 2009.
Yoram Ron sera membre du jury pour le prix du meilleur long-métrage.
Jury 2016
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Charlie Dupont
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Diana Elbaum
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Michel Kacenelenbogen
Comédien et metteur en scène à Bruxelles, il est aussi co-directeur du théâtre Le Public. C’est en 1985, que le projet d’ouvrir son propre lieu de spectacle naît. Pour amasser le capital néces-saire, Michel Kacenelenbogen s’improvisera chef d’entreprise et créera une société́ de télé-marketing.
Dix ans plus tard, avec sa compagne Patricia Ide, il transforme sans subsides une vieille brasserie schaerbeekoise en théâtre. Le théâtre le Public est actuellement un lieu incontournable de la scène belge. La clé́ de cette réussite ? Une con-viction sans faille dans son rêve d’établir un lieu théâtral de création populaire où des œuvres contemporaines côtoient les grands textes du répertoire. Mission accomplie.
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NADIa Benzekri
Nadia Benzekri a étudié la philosophie et ensuite la réalisation à l’Insas. Le documentaire Une lumière la nuit. Un portrait de Madeleine Bourdouxhe, est son premier film, un portrait de l’écrivain Madeleine Bourdouxhe, qui est aussi sa grand-mère. Elle a réalisé le court métrage de fiction « Eau-de-vie », autour d’un rituel funéraire et des rencontres qu’il suscite.
Lors de ses séjours en Algérie, dans sa famille paternelle, elle filme la vie à Constantine, les préparatifs et le déroulement d’une fête de mariage. Elle réalise différentes vidéos, notamment en collaboration avec la compagnie l’Infini théâtre, et liées à la danse contemporaine et à la performance. Elle est aussi scénariste, elle a différents projets en cours d’écriture.
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JULIETTE goudoT
Juliette Goudot est une historienne et journaliste française. Née à Paris en 1978, elle vit et travaille entre Paris et Bruxelles. Après un passage dans l’enseignement, elle écrit et réalise un documentaire historique, Un pilote dans l’histoire. Jacques de Saint Phalle au Normandie-Niémen (52’), diffusé sur la chaîne Histoire en 2010.
En 2014, elle publie un premier roman aux éditions Aden, La traversée de Tanger. Puis elle collabore à l’écriture du long-métrage La Peur de Damien Odoul (sur la Première guerre mondiale), le film obtient le prix Jean Vigo 2015.
En parallèle de ses travaux d’écriture Juliette Goudot est critique cinéma pour le magazine hebdomadaire belge Moustique et chroniqueuse cinéma dans l’émission de radio Entrez sans frapper (RTBF). Elle a été chroniqueuse à Arte Belgique pour l’émission Cinquante Degrés Nord et intervient régulièrement pour des présentations de films et débats autour du cinéma, notamment à Bozar.
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Ariel Wizman
Il naît au sein d’une famille juive marocaine. Il a huit ans lorsque sa famille quitte le Maroc à cause du climat antisémite consécutif à la guerre des six jours, pour s’établir en France. À Paris, Ariel entre à l’école normale israélite orientale, dirigée à l’époque par Emmanuel Levinas, où il obtient son baccalauréat A.
Par la suite il entame des études de philosophie à Montpellier puis à la Sorbonne où il obtient une maitrise. Il commence une carrière de journaliste en 1984. En 1999, il monte sa société́ de production, La Grosse Boule Productions, essentiellement spécialisée dans la création de documentaires audiovisuels, pour lesquels il lui arrive d’être lui-même reporté. Il a aussi produit quelques émissions de radio pour France Culture et de télé́, comme Tentation 07 pour Canal+.
Il est également auteur de livres et a tourner dans quelques films et publicités. Actuellement, il est présent dans La Nouvelle Edition de Daphné́ Bürki sur Canal+. Ariel Wizman est aussi, depuis longtemps, très actif comme DJ : il se produit un peu partout en France mais aussi à l’étranger.
Programme 2014
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Juifs et musulmans, si loin, si proches
Prix 2014
Prix du Meilleur film
Nous avons le plaisir de vous annoncer que le Prix Georges Schneck 2014 a été decerné à Nurit Kedar et Yaron Shani pour leur film Life Sentences.
Synopsis:
Un Arabe est marié à une Juive. Ils vivent en paix dans la communauté judéo-arabe avec leur fils et leur fille. Mais il s’avère que le père est derrière une douzaine de mystérieuses attaques terroristes qui ont eu lieux dans les années 60. Alors, la mère fuit le pays avec ses enfants et part s’installer de l’autre côté de la Terre, dans la communauté judéo-orthodoxe de Montréal. Quand ses enfants auront grandi, ils entreprendront le chemin inverse.
Prix du Public
Le Prix du public a été de decerné au film Le Prince vert de Nadav Schirman.
Synopsis:
Prince par son ascendance familiale et vert pour la couleur du drapeau du Hamas, Musab Hassan Yousef est le fils aîné du Sheikh Hassan Yousef, un des chefs de file du Hamas en Cisjordanie. À partir de 1997 et jusqu’en 2007, il sera la meilleure source du Shin Bet, service israélien de sécurité intérieure. Il demandera alors l’asile politique aux USA, se convertira au christianisme et deviendra végétarien. Le film est tiré de son livre autobiographique : son enfance à Ramallah dans sa famille, un traumatisme qu’il gardera secret, son premier emprisonnement politique à 17 ans, son recrutement par le Shin Bet suivi de dix ans de collaboration. Le film a reçu l’Ophir du Meilleur documentaire 2014.
Jury 2014
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Alain Berliner
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Jack Mener
A fait l’honneur à IMAJ de faire partie de son tout premier jury. Jusqu’en juin 2012, il a été administrateur de la galerie d’art Brenart International S.A. à Bruxelles. Jusqu’en décembre 2005 il a exercé la fonction de directeur, puis conseiller général du Musée Juif de Belgique. Très actif dans diverses activités culturelles, telles que le Centre Multimédia et du Festival International du Film Indépendant, l’Union de la Presse Cinématographique de Belgique, responsable de la page cinématographique du Magazine mensuel CONTACTJ, « Cinémagie » sur Radio Judaïca, Jeunesses Poétiques et du Théâtre-Poème.
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Sam Touzani
Comédien, metteur en scène, auteur, chorégraphe et présentateur de télévision belge d’origine marocaine berbère rifaine né à Bruxelles. Étudiant à l’INSAS, on le distingue en 1992 comme comédien dans la Compagnie du Brocoli. Il crée sa compagnie de comédie musicale en 1991 et sillonne l’Europe. Il joue plusieurs rôles au cinéma : Deuxième quinzaine de juillet de Christophe Reichert en 1999, Le Bal masqué de Julien Vrebos en 1997, et tient de nombreux premiers rôles dans des productions belges, téléfilms et courts métrages. En 2003 il écrit Gembloux, à la recherche d’une armée oubliée (prix littéraires, Prix Sony Labou Tansi des lycéens 2008), avec Ben Hamidou, Gennaro Pitisci, Nacer Nafti, un pièce de théâtre entre humour et rigueur historique sur la participation des tirailleurs africains durant la seconde guerre mondiale. Sam Touzani est reconnu comme un incontournable représentant de la culture métissée de Belgique.
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Carine Bratzlavsky
Directrice d’Arte Belgique. Le 1er novembre 2001, Carine Bratzlavsky est désignée pour élaborer un projet de reformatage de la chaîne. Celle-ci officiait depuis 1995 en tant que coordinatrice-productrice d’Arte-Belgique, l’interface créée entre la RTBF et l’équipe de la chaîne culturelle européenne. Et avant cela, Bratzlavsky était déjà en charge de la seconde chaîne de la RTBF, à l’époque dénommée Télé 21.